AFRIQUE | DÉFENSE : La situation sécuritaire évolue dans les pays de l’AES (Niger 🇳🇪, Mali 🇲🇱, Burkina Faso 🇧🇫) mais reste toujours critique face à la menace des groupes armés terroristes.

13 Juil AFRIQUE | DÉFENSE : La situation sécuritaire évolue dans les pays de l’AES (Niger 🇳🇪, Mali 🇲🇱, Burkina Faso 🇧🇫) mais reste toujours critique face à la menace des groupes armés terroristes.

🔵🌍✊🏾 AFRIQUE | DÉFENSE : La situation sécuritaire évolue dans les pays de l’AES (Niger 🇳🇪, Mali 🇲🇱, Burkina Faso 🇧🇫) mais reste toujours critique face à la menace des groupes armés terroristes soutenus par des entités occidentales (France 🇫🇷, États-Unis 🇺🇸, Union européenne 🇪🇺).

Face à ces défis, les dirigeants de la confédération de l’AES, Assimi Goïta, Ibrahim Traoré et le général Tiani, doivent signer une mobilisation pour lancer un recrutement massif visant à atteindre un effectif militaire exceptionnel de 1 million de soldats actifs, avec un nombre équivalent de réservistes. Il est tout aussi crucial de s’assurer que les recrues sont correctement formées, disciplinées et professionnelles. La qualité prime sur la quantité pour garantir l’efficacité opérationnelle. La collaboration avec des partenaires comme la Russie 🇷🇺 et la Chine 🇨🇳 pour la formation des soldats peut être bénéfique, mais il est important de veiller à ce que cette formation soit adaptée aux besoins spécifiques de la confédération pour éviter de retomber dans les mêmes erreurs du passé qui durent depuis 60 ans avec la France 🇫🇷 et ses soi-disant « formations des militaires africains » qui ne servent à rien à nos armées.
Il faut également moderniser les équipements :

• Acquérir des armements et matériels modernes et adéquats est essentiel pour équiper efficacement les armées. Cela permettra de renforcer la capacité opérationnelle et la réactivité des forces armées face aux menaces terroristes et autres.
• Envisager également la possibilité de développer une capacité de production locale d’équipements militaires pour assurer l’indépendance et la durabilité des approvisionnements.
  Il faut aussi miser sur une stratégie globale :
• La professionnalisation de l’armée doit s’accompagner de l’ouverture d’écoles académiques militaires où sortiront les sousofficiers et officiers avec un niveau d’études minimum de baccalauréat, en incluant dans cette stratégie globale des volets diplomatiques, économiques et sociaux pour lutter efficacement contre le terrorisme et stabiliser la région.
  La coordination et la collaboration militaire, en information et renseignements entre les pays de l’AES ainsi qu’avec d’autres acteurs régionaux et ses partenaires internationaux sont cruciales pour garantir le succès des opérations militaires et de sécurité. La construction d’une puissante force militaire doit s’accompagner d’efforts pour renforcer les institutions, promouvoir la bonne gouvernance et le développement économique et social pour s’attaquer aux causes profondes des conflits.

Notre objectif : atteindre d’ici la fin de 2025 un effectif de 1 million de soldats actifs et 500 000 réservistes. L’armée de l’AES doit devenir la référence en matière de défense en Afrique de l’Ouest, et cette ambition est réalisable. L’heure est venue de rappeler que la force est parfois le seul langage compris par les idéologues. #StratégieDeDéfense #ProfessionnalisationMilitaire #MobilisationContreLeTerrorisme #UnisPourLaSécurité Bon week-end à tous et restons solidaires ! La révolution est en marche – armons-nous idéologiquement. 💪🏾🇳🇪🇲🇱🇧🇫🌍

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              Egountchi Behanzin