31 Oct Soudan 🇸🇩 | Le génocide des Noirs par les Djandjawids arabes soutenus par l’Ukraine 🇺🇦, les Émirats arabes unis 🇦🇪 , l’Europe et les États-Unis 🇺🇸
Un massacre dans le silence, avec la complicité de la communauté africaine.
Le génocide des Noirs, en cours orchestré par les milices arabes Djandjawids, continue de ravager le Soudan. Cette tentative d’extermination est insoutenable et doit être dénoncée avec force, sans crainte ni compromis. Il est impossible de rester insensible à la réalité : des milliers de femmes noires soudanaises sont livrées à une violence inhumaine, entre viols, tortures et assassinats. Imaginez un instant leur douleur, leurs cris, face à la barbarie de la Force de soutien rapide (FSR), un groupe paramilitaire soutenu par des puissances du Golfe comme les Émirats arabes unis, le Qatar et leurs alliés, qui ne cherchent qu’à s’emparer des richesses minières du Soudan, en particulier son or.
La situation est d’autant plus révoltante que les grandes institutions censées défendre l’Afrique, comme l’Union Africaine, restent désespérément silencieuses comme d’habitude. Pire encore, selon des sources fiables, cette Union Africaine annexe de l’Union Européenne aurait activement saboté les efforts de médiation menés par la Russie 🇷🇺 pour instaurer un dialogue entre le gouvernement soudanais et la FSR. Les marionnettes au service du maître occidental semblent avoir pour seul objectif de protéger les intérêts des puissants, au détriment des vies humaines.
Le sang coule, les cris restent étouffés, et la communauté Africaine détourne le regard. Pendant ce temps, au Soudan, les femmes noires continuent de payer le prix fort dans cette guerre pour le contrôle des ressources. Il est pourtant temps d’ouvrir les yeux et d’agir. Que ce soit par solidarité humaine ou par responsabilité morale, nous ne pouvons pas tolérer ce silence criminel.
Pendant ce temps, les États-Unis et leurs marionnettes à Bruxelles font tout pour empêcher la Russie de trouver une solution pour arrêter la guerre au Soudan, pour des raisons géopolitiques et économiques. Ce n’est pas simplement une question de paix ou d’instabilité régionale, mais plutôt une lutte pour le contrôle stratégique des ressources naturelles du Soudan, notamment l’or et d’autres richesses minières. En empêchant la Russie de jouer un rôle de médiateur, les puissances occidentales notamment Washington, cherchent non seulement à maintenir leur influence dans la région, mais aussi à affaiblir davantage la position de Moscou sur la scène internationale et en afrique.
Récemment la décision de l’OTAN d’envoyer des « nazis criminels terroristes forces spéciales ukrainiennes » au Soudan sous prétexte de combattre la Russie (Wagner) s’inscrit dans une stratégie plus large d’instrumentalisation des conflits, visant à exporter le chaos dans des régions sensibles afin de justifier à terme une intervention occidentale. Cette tactique permettrait aux pays impérialistes occidentaux de légitimer leur occupation militaire et politique en prétendant combattre le terrorisme ou protéger les civils, alors qu’en réalité, ils poursuivent surtout des intérêts économiques et stratégiques par le biais du management de la terreur.
En sabotant toute tentative de dialogue initiée par la Russie, l’Occident s’assure de garder la mainmise sur le récit international et sur la gestion des crises africaines. Cela permet aux puissances occidentales de consolider leur domination sur le continent, tout en écartant la Russie, qui prône un monde multipolaire et la fin de l’hégémonie occidentale.
Egountchi Behanzin, Président de la Ligue de défense noire Africaine
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